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                             L’éducation
 
Dans sa monographie de Grande-Digue, l’auteur Paul Bourgeois affirme que lorsqu’ils arrivèrent en Acadie au milieu du 17è siècle, nos ancêtres possédaient une certaine éducation et qu’ils avaient même organisé des classes pour leurs enfants.
 

Le grand dérangement aura mis fin à la plupart des infrastructures dont on avait pu se doter.
 

Paul Bourgeois relate qu’en 1766 alors que la Nouvelle-Ecosse comprenait encore le Nouveau-Brunswick, Halifax votait une loi qui permettait aux citoyens d’ouvrir des écoles à condition d’en obtenir la permission. Or, cette loi nie ce droit aux catholiques. Pour cette raison, on peut déduire que les premiers enfants résidents de Grande-Digue ont été privés d’enseignement sauf pour ce que les parents et quelques missionnaires réussissaient à transmettre.

L’analphabétisme est criant et une réforme s’impose. 
Bien que, toujours selon Paul Bourgeois, il y aurait eu des écoles à Grande-Digue dès 1828.
 
La loi 1871 : Elle décrète que les écoles seront publiques, gratuites et construites par des fonds gouvernementaux (La petite école du village des pionniers de Grande-Digue, bâtie vers 1880 en est un exemple). Mais cette loi ne fait aucune allusion au français (et surtout pas aux livres français) ni à la religion catholique chère aux Acadiens
                            
                          Arrive l’émeute de Caraquet en 1875, (i.e. l’affaire Louis Mailloux) et les Acadiens obtiennent
                                        des livres de lecture traduits de l’anglais.

 
La page droite est en anglais; sa traduction à la page gauche. 
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​Ainsi, les élèves accadiens apprennent-ils à lire dans des livres « français-anglais! »

 
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