Sur cette page vous trouverez la couverture accordée au Club d'âge d'or de Grande-Digue et ses membres par les medias locaux. Nous les en remercions.
5 janvier 2021
Ronald Cormier, AKA Pépère Boite à lunch, a été reconnu comme personalité influente de la Francophonie canadienne par l'agence Francopresse
Félicitations
Ronald Cormier, AKA Pépère Boite à lunch, a été reconnu comme personalité influente de la Francophonie canadienne par l'agence Francopresse
Félicitations
13 mai
Reportage de la CBC sur le fameux tableau de la Présentation de Jésus au temple originalement accroché à l'église de Grande-Digue. Cliquez ici
Reportage de la CBC sur le fameux tableau de la Présentation de Jésus au temple originalement accroché à l'église de Grande-Digue. Cliquez ici
Pour l’amour de la course et des enfants Pépère Boîte à lunch termine son 2e marathon de Boston
3 mai 2018 par
Le Moniteur Acadien
Pépère Boîte à lunch affiche fièrement ses couleurs pour la photo officielle à la fin de son deuxième marathon de Boston. (Photo : Gracieuseté)
Claire Lanteigne
Ronald Cormier, de Grande-Digue, bien connu comme Pépère Boîte à lunch, a couru son deuxième marathon de Boston, le 16 avril dernier, à 63 ans. «Pendant la semaine, la météo n’était pas très prometteuse, dit-il, et il fallait prendre la décision sur les bons vêtements à porter pour courir le marathon avec une température de 1 à 2 degrés, de la pluie, de la grêle et un vent frontal de 60 km l’heure. Mille deux cents coureurs n’ont pas pris le départ et sur les 29 800 personnes enregistrées, 25 700 l’ont complété.»
«Je courais avec les doigts gelés mais le plus gros appui qui m’a permis de terminer la course c’est le sachet avec les 252 noms des élèves de Grande-Digue que je portais sur mon cœur», dit-il avec émotion. J’avais aussi les initiales de ma cousine Marielle, qui passe une période difficile de traitements pour le cancer.» Durant la course, Pépère témoigne que sa tête lui a demandé d’abandonner la course au moins 1000 fois. Mais le dévouement à ses causes ne lui laissait aucune option. C’est son devoir et sa responsabilité. Au 15 km il a fait trébucher un autre coureur par accident, c’est le risque à courir. Au 25e km, il ajoute avoir entendu un coureur Philippin lâcher un cri d’horreur de douleur qu’il n’oubliera jamais. «À km 25 mes quadriceps ont commencé à gonfler et j’ai pris une capsule de sel de table dans mon kit d’urgence. Cela a réglé le problème, mais je ne me souviens pas d’avoir passé la dernière grosse butte du marathon», ajoute-t-il.
Au km 34, il a dépassé un coureur amputé avec une jambe artificielle et cela lui a donné l’énergie pour compléter la course. Il a franchi la ligne d’arrivée en 3 heures 44 minutes et 42 secondes.
Il a battu son record personnel de trois minutes en plus d’avoir amélioré sa performance du premier marathon de Boston par 15 minutes. À quelques mètres après la ligne d’arrivée, Pépère Boite à lunch s’est écrasé et les paramédicaux l’ont fait marcher quelques minutes et il s’écrase pour une deuxième fois. «J’étais très très fatigué, mais finalement j’ai pu continuer et me rendre à l’autobus, dit-il. J’ai seulement su quelques minutes après quel était mon temps et j’avais tellement les mains gelées. Mais je l’avais réussi pour l’amour de la course et des enfants.»
Au fil d’arrivée, il enlève toujours son manteau pour exposer son chandail Pépère Boîte à lunch, ainsi que les drapeaux acadien et canadien pour la photo officielle. Il donne toujours son habit de course pour la cause. Il est maintenant qualifié pour un troisième marathon à Boston en 2019.
Il commence à courir à 58 ans
C’est à l’âge de 58 ans que Pépère Boîte à lunch a commencé à courir, suite à un défi lancé par sa fille Marcia, la veille du Jour de l’an. Elle l’a invité à faire «Du sofa à 5 km» avec elle, lui disant que ça lui ferait du bien. «Je n’avais jamais couru un km, mais j’aime les défis et j’ai commencé mon entrainement en janvier 2013 et en avril je l’ai couru en 34 minutes 30 secondes. J’ai poursuivi mon entraînement au cours des deux prochaines années, mais je courais à la noirceur, ne voulant pas être vu en tenue sport. Je courais 5, 10 ou 15 km et j’étais vraiment fatigué à la fin. Je voyais les autres coureurs boire de l’eau et des boissons énergisantes. On m’a suggéré, probablement par sympathie, que je devrais peut-être joindre le Club des coureurs du Running Room, ce que j’ai fait en 2015. J’ai couru le demi marathon de Kouchibouguac en octobre 2015.»
«Un des coureurs Kevin Donnelle finissait de courir New York. Je lui ai téléphoné pour savoir s’il pensait que je pourrais courir un plein marathon. Je me suis donc entraîné de janvier 2016 et en mai j’ai couru mon premier marathon à Fredericton en 3 hrs 47 min. 24 sec. Qualifié pour New York, j’ai envoyé mon application et j’ai été accepté lors du tirage de novembre 2016 avec 51 000 autres coureurs.»
Il court le marathon en avril 2017 rate sa qualification pour Boston par trois minutes. «J’étais sous quatre heures et j’ai donc décidé de courir Ottawa en mai 2017, avec ma nièce. Je me suis qualifié pour Boston en 3hrs 49 min. 55 sec.»
C’est avant le marathon d’Ottawa qu’on annonce que les élèves de l’école Grande-Digue voulaient montrer leur appréciation à la Campagne de Pépère Boîte à lunch en organisant un marathon le 13 juin 2017. Pour les jeunes donner est aussi important que recevoir et le long du parcours on ramassait des denrées pour le Vestiaire St-Joseph.
Il est suggéré dans le sport de faire deux marathons par année afin de garder son corps occupé, mais Pépère Boîte à lunch en a couru trois dans sept semaines.
Il profite de quelques mois pour récupérer et en octobre il commence son entraînement pour Boston 2018 et il court quelques demi marathons et courses minutes. De janvier jusqu’au jour du marathon, le 16 avril dernier, il a couru au-delà de 1000 kms et a aussi surpassé 1500 kms depuis le début de son entraînement en octobre 2017.
Campagne Pépère Boîte à lunch
La Campagne de Pépère Boîte à lunch est dans le but de financer les repas chauds des élèves en besoin à l’école Grande-Digue. «La campagne, parrainée par les Chevaliers de Colomb de Grande-Digue va très bien et on a atteint la jolie somme de 18 000$ dans 18 mois», dit-il avec fierté. Ce montant paraît excessif, mais on a besoin de plus ou moins 1000$ par mois. Le programme vise aussi à renseigner et sensibiliser les gens sur les besoins des jeunes qui n’ont rien ou presque rien. Il faut offrir des repas chauds discrètement en collaboration avec la direction de l’école. De plus, les deux parents de plusieurs jeunes travaillent, donc ils déjeunent tôt. Alors l’école fournit une collation de fruits, fromage à tout jeune qui veut manger quelque chose.»
«Peut-être que des personnes questionnent pourquoi on fait ça, mais la direction de l’école fait le suivi avec les parents à savoir ce qui se passe. Peut-être qu’un jour l’infirmière qui me soignera sera une jeune qu’on aura aidé à bien fonctionner à l’école, poursuit-il. Le programme veut aussi développer la jeunesse qui va apprendre à redonner l’aide à d’autres : c’est la morale de cette campagne.»
On négocie actuellement avec le District scolaire francophone Sud pour tenir le deuxième marathon Pépère Boîte à lunch. S’il se reproduit, ce sera le 13 juin prochain et Pépère Boîte à lunch se repose un peu en attendant.
En terminant, il encourage tout le monde, peu importe l’âge, à participer à des exercices et à faire des sports pour garder son corps en forme.
«Pour les jeunes, conclut-il, si tu veux, tu peux.»
3 mai 2018 par
Le Moniteur Acadien
Pépère Boîte à lunch affiche fièrement ses couleurs pour la photo officielle à la fin de son deuxième marathon de Boston. (Photo : Gracieuseté)
Claire Lanteigne
Ronald Cormier, de Grande-Digue, bien connu comme Pépère Boîte à lunch, a couru son deuxième marathon de Boston, le 16 avril dernier, à 63 ans. «Pendant la semaine, la météo n’était pas très prometteuse, dit-il, et il fallait prendre la décision sur les bons vêtements à porter pour courir le marathon avec une température de 1 à 2 degrés, de la pluie, de la grêle et un vent frontal de 60 km l’heure. Mille deux cents coureurs n’ont pas pris le départ et sur les 29 800 personnes enregistrées, 25 700 l’ont complété.»
«Je courais avec les doigts gelés mais le plus gros appui qui m’a permis de terminer la course c’est le sachet avec les 252 noms des élèves de Grande-Digue que je portais sur mon cœur», dit-il avec émotion. J’avais aussi les initiales de ma cousine Marielle, qui passe une période difficile de traitements pour le cancer.» Durant la course, Pépère témoigne que sa tête lui a demandé d’abandonner la course au moins 1000 fois. Mais le dévouement à ses causes ne lui laissait aucune option. C’est son devoir et sa responsabilité. Au 15 km il a fait trébucher un autre coureur par accident, c’est le risque à courir. Au 25e km, il ajoute avoir entendu un coureur Philippin lâcher un cri d’horreur de douleur qu’il n’oubliera jamais. «À km 25 mes quadriceps ont commencé à gonfler et j’ai pris une capsule de sel de table dans mon kit d’urgence. Cela a réglé le problème, mais je ne me souviens pas d’avoir passé la dernière grosse butte du marathon», ajoute-t-il.
Au km 34, il a dépassé un coureur amputé avec une jambe artificielle et cela lui a donné l’énergie pour compléter la course. Il a franchi la ligne d’arrivée en 3 heures 44 minutes et 42 secondes.
Il a battu son record personnel de trois minutes en plus d’avoir amélioré sa performance du premier marathon de Boston par 15 minutes. À quelques mètres après la ligne d’arrivée, Pépère Boite à lunch s’est écrasé et les paramédicaux l’ont fait marcher quelques minutes et il s’écrase pour une deuxième fois. «J’étais très très fatigué, mais finalement j’ai pu continuer et me rendre à l’autobus, dit-il. J’ai seulement su quelques minutes après quel était mon temps et j’avais tellement les mains gelées. Mais je l’avais réussi pour l’amour de la course et des enfants.»
Au fil d’arrivée, il enlève toujours son manteau pour exposer son chandail Pépère Boîte à lunch, ainsi que les drapeaux acadien et canadien pour la photo officielle. Il donne toujours son habit de course pour la cause. Il est maintenant qualifié pour un troisième marathon à Boston en 2019.
Il commence à courir à 58 ans
C’est à l’âge de 58 ans que Pépère Boîte à lunch a commencé à courir, suite à un défi lancé par sa fille Marcia, la veille du Jour de l’an. Elle l’a invité à faire «Du sofa à 5 km» avec elle, lui disant que ça lui ferait du bien. «Je n’avais jamais couru un km, mais j’aime les défis et j’ai commencé mon entrainement en janvier 2013 et en avril je l’ai couru en 34 minutes 30 secondes. J’ai poursuivi mon entraînement au cours des deux prochaines années, mais je courais à la noirceur, ne voulant pas être vu en tenue sport. Je courais 5, 10 ou 15 km et j’étais vraiment fatigué à la fin. Je voyais les autres coureurs boire de l’eau et des boissons énergisantes. On m’a suggéré, probablement par sympathie, que je devrais peut-être joindre le Club des coureurs du Running Room, ce que j’ai fait en 2015. J’ai couru le demi marathon de Kouchibouguac en octobre 2015.»
«Un des coureurs Kevin Donnelle finissait de courir New York. Je lui ai téléphoné pour savoir s’il pensait que je pourrais courir un plein marathon. Je me suis donc entraîné de janvier 2016 et en mai j’ai couru mon premier marathon à Fredericton en 3 hrs 47 min. 24 sec. Qualifié pour New York, j’ai envoyé mon application et j’ai été accepté lors du tirage de novembre 2016 avec 51 000 autres coureurs.»
Il court le marathon en avril 2017 rate sa qualification pour Boston par trois minutes. «J’étais sous quatre heures et j’ai donc décidé de courir Ottawa en mai 2017, avec ma nièce. Je me suis qualifié pour Boston en 3hrs 49 min. 55 sec.»
C’est avant le marathon d’Ottawa qu’on annonce que les élèves de l’école Grande-Digue voulaient montrer leur appréciation à la Campagne de Pépère Boîte à lunch en organisant un marathon le 13 juin 2017. Pour les jeunes donner est aussi important que recevoir et le long du parcours on ramassait des denrées pour le Vestiaire St-Joseph.
Il est suggéré dans le sport de faire deux marathons par année afin de garder son corps occupé, mais Pépère Boîte à lunch en a couru trois dans sept semaines.
Il profite de quelques mois pour récupérer et en octobre il commence son entraînement pour Boston 2018 et il court quelques demi marathons et courses minutes. De janvier jusqu’au jour du marathon, le 16 avril dernier, il a couru au-delà de 1000 kms et a aussi surpassé 1500 kms depuis le début de son entraînement en octobre 2017.
Campagne Pépère Boîte à lunch
La Campagne de Pépère Boîte à lunch est dans le but de financer les repas chauds des élèves en besoin à l’école Grande-Digue. «La campagne, parrainée par les Chevaliers de Colomb de Grande-Digue va très bien et on a atteint la jolie somme de 18 000$ dans 18 mois», dit-il avec fierté. Ce montant paraît excessif, mais on a besoin de plus ou moins 1000$ par mois. Le programme vise aussi à renseigner et sensibiliser les gens sur les besoins des jeunes qui n’ont rien ou presque rien. Il faut offrir des repas chauds discrètement en collaboration avec la direction de l’école. De plus, les deux parents de plusieurs jeunes travaillent, donc ils déjeunent tôt. Alors l’école fournit une collation de fruits, fromage à tout jeune qui veut manger quelque chose.»
«Peut-être que des personnes questionnent pourquoi on fait ça, mais la direction de l’école fait le suivi avec les parents à savoir ce qui se passe. Peut-être qu’un jour l’infirmière qui me soignera sera une jeune qu’on aura aidé à bien fonctionner à l’école, poursuit-il. Le programme veut aussi développer la jeunesse qui va apprendre à redonner l’aide à d’autres : c’est la morale de cette campagne.»
On négocie actuellement avec le District scolaire francophone Sud pour tenir le deuxième marathon Pépère Boîte à lunch. S’il se reproduit, ce sera le 13 juin prochain et Pépère Boîte à lunch se repose un peu en attendant.
En terminant, il encourage tout le monde, peu importe l’âge, à participer à des exercices et à faire des sports pour garder son corps en forme.
«Pour les jeunes, conclut-il, si tu veux, tu peux.»
Grande-Digue nous fait revivre le passé!
14 septembre 2017 par Le Moniteur Acadien
Pour une neuvième année consécutive, la Fête communautaire de Grande-Digue se déroulait dimanche dernier à Notre Centre. Tout au long de l’après-midi, les nombreux visiteurs pouvaient ainsi assister et participer à de nombreuses activités ludiques et instructives! De l’observation des machines agricoles, à la visite du musée en passant par une promenade en calèche ou encore la découverte d’un Jardin d’antan et d’alpagas, il y en avait pour tous les goûts et les intérêts! (Photo : jbp)
Hélène Le Pennec
Organisée par la Société historique de Grande-Digue, l’Institut féminin, les Chevaliers de Colomb, le Comité récréatif et le Comité 150 participaient également à cet événement afin de proposer des activités variées et soutenir les projets comme celui du Jardin potager en partenariat avec l’école de Grande-Digue.
Ce gros projet de Jardin d’antan a débuté au début du mois de juin avec Edmond Bourgeois, Serge LaRochelle et Mme Caroline, enseignante d’une classe de 5ème année à l’école de Grande-Digue.
«J’ai entendu parler du projet et j’ai offert mon aide, mais c’est vraiment Edmond Bourgeois qui a initié l’idée et choisi les récoltes. Je m’occupe habituellement de faire du jardinage avec les élèves dans plusieurs écoles», explique Serge LaRochelle, qui a accompagné la classe de Mme Caroline. «Toute la classe est venue ensemble pour semer le jardin, on était divisé en quatre groupes et chacun avait son coin de jardin à semer, et, dans un avant-midi, avec l’aide d’Edmond, de bénévoles et une demi-douzaine de parents les élèves avaient semé une grande partie du jardin potager», rajoute-t-il.
Madame Caroline est, quant à elle, fière de ses élèves qui ont ainsi développé de nombreuses connaissances et compétences tout au long du projet. «Zoé, Isabelle, Julien et Cédric sont des élèves de la classe qui ont travaillé fort du début jusqu’à maintenant le temps de la récolte. Ils ont découvert beaucoup de processus et développé de nombreuses habilités et intérêts», de dire Madame Caroline. La maman de Zoé, Adèle, infirmière en santé public était aussi présente afin d’accompagner sa fille dans le projet. «Une fois les légumes récoltés, les élèves vont pouvoir les cuisiner ou encore vendre une partie de la production et même donner le surplus à une cause caritative et aussi pouvoir acheter du matériel pour l’école. On est à l’extérieur mais on est en train d’apprendre, il y a un véritable objectif éducatif derrière ce projet», d’ajouter l’enseignante.
En fin de journée un souper communautaire était aussi organisé dans le cadre de la fête, par le Club de l’âge d’or de Grande-Digue à Notre Centre. Entrer dans cette grande salle et observer cette longue table remplie de tartes et desserts, voilà de quoi réveiller nos papilles!
Aline Babineau, présidente du Club de l’âge d’or et de l’Institut féminin était quant à elle, accompagnée d’une centaine de bénévoles, prêts à servir environ 800 soupers. Au menu, longe de porc et légumes frais du jardin, dessert, thé et café. Toute l’équipe de bénévoles était prête à recevoir les visiteurs. «C’est la neuvième année que nous proposons ce souper. Nous avons une centaine de bénévoles qui sont répartis en différentes équipes entre la cuisine, le service à la table, la vente de billets ou la pâtisserie», explique Aline Babineau.
«Notre prochain gros événement sera notre gros marché aux puces avec l’Institut féminin les 29 et 30 d’octobre ici à Notre Centre. Il y a toujours quelque chose qui se passe dans la communauté et nous sommes chanceux d’avoir de nombreux bénévoles», ajoute-t-elle.
Tout au long de la fête on pouvait lire des sourires sur les visages des plus petits comme des plus grands, voilà certainement de quoi prédire une belle dixième édition l’année prochaine en espérant que le soleil sera de nouveau présent!
14 septembre 2017 par Le Moniteur Acadien
Pour une neuvième année consécutive, la Fête communautaire de Grande-Digue se déroulait dimanche dernier à Notre Centre. Tout au long de l’après-midi, les nombreux visiteurs pouvaient ainsi assister et participer à de nombreuses activités ludiques et instructives! De l’observation des machines agricoles, à la visite du musée en passant par une promenade en calèche ou encore la découverte d’un Jardin d’antan et d’alpagas, il y en avait pour tous les goûts et les intérêts! (Photo : jbp)
Hélène Le Pennec
Organisée par la Société historique de Grande-Digue, l’Institut féminin, les Chevaliers de Colomb, le Comité récréatif et le Comité 150 participaient également à cet événement afin de proposer des activités variées et soutenir les projets comme celui du Jardin potager en partenariat avec l’école de Grande-Digue.
Ce gros projet de Jardin d’antan a débuté au début du mois de juin avec Edmond Bourgeois, Serge LaRochelle et Mme Caroline, enseignante d’une classe de 5ème année à l’école de Grande-Digue.
«J’ai entendu parler du projet et j’ai offert mon aide, mais c’est vraiment Edmond Bourgeois qui a initié l’idée et choisi les récoltes. Je m’occupe habituellement de faire du jardinage avec les élèves dans plusieurs écoles», explique Serge LaRochelle, qui a accompagné la classe de Mme Caroline. «Toute la classe est venue ensemble pour semer le jardin, on était divisé en quatre groupes et chacun avait son coin de jardin à semer, et, dans un avant-midi, avec l’aide d’Edmond, de bénévoles et une demi-douzaine de parents les élèves avaient semé une grande partie du jardin potager», rajoute-t-il.
Madame Caroline est, quant à elle, fière de ses élèves qui ont ainsi développé de nombreuses connaissances et compétences tout au long du projet. «Zoé, Isabelle, Julien et Cédric sont des élèves de la classe qui ont travaillé fort du début jusqu’à maintenant le temps de la récolte. Ils ont découvert beaucoup de processus et développé de nombreuses habilités et intérêts», de dire Madame Caroline. La maman de Zoé, Adèle, infirmière en santé public était aussi présente afin d’accompagner sa fille dans le projet. «Une fois les légumes récoltés, les élèves vont pouvoir les cuisiner ou encore vendre une partie de la production et même donner le surplus à une cause caritative et aussi pouvoir acheter du matériel pour l’école. On est à l’extérieur mais on est en train d’apprendre, il y a un véritable objectif éducatif derrière ce projet», d’ajouter l’enseignante.
En fin de journée un souper communautaire était aussi organisé dans le cadre de la fête, par le Club de l’âge d’or de Grande-Digue à Notre Centre. Entrer dans cette grande salle et observer cette longue table remplie de tartes et desserts, voilà de quoi réveiller nos papilles!
Aline Babineau, présidente du Club de l’âge d’or et de l’Institut féminin était quant à elle, accompagnée d’une centaine de bénévoles, prêts à servir environ 800 soupers. Au menu, longe de porc et légumes frais du jardin, dessert, thé et café. Toute l’équipe de bénévoles était prête à recevoir les visiteurs. «C’est la neuvième année que nous proposons ce souper. Nous avons une centaine de bénévoles qui sont répartis en différentes équipes entre la cuisine, le service à la table, la vente de billets ou la pâtisserie», explique Aline Babineau.
«Notre prochain gros événement sera notre gros marché aux puces avec l’Institut féminin les 29 et 30 d’octobre ici à Notre Centre. Il y a toujours quelque chose qui se passe dans la communauté et nous sommes chanceux d’avoir de nombreux bénévoles», ajoute-t-elle.
Tout au long de la fête on pouvait lire des sourires sur les visages des plus petits comme des plus grands, voilà certainement de quoi prédire une belle dixième édition l’année prochaine en espérant que le soleil sera de nouveau présent!
Succès du 9e tournoi de golf du Club d’âge d’or de Grande-Digue
31 août 2017
par Le Moniteur Acadien
Nous reconnaissons l’équipe gagnante, dans l’ordre habituel : 1ère rangée : Hilda Gagnon, du Comité organisateur; Éliette Léger et Adélard Savoie. 2e rangée : Léonard Léger et Michel Lacroix.
Pour la neuvième année, le Club d’âge d’or de Grande-Digue organisait son tournoi de golf à Bouctouche. Ainsi, le jeudi 24 août, par une journée splendide, quatorze équipes ont participé à cette activité.
Le tout s’est déroulé dans une atmosphère joviale et détendue. Ce tournoi se veut une journée de rencontre amicale sans compétition! Pour réaliser cet objectif, on choisi le format «meilleure balle». Ceci permet à tous les participants, peu importe l’habileté, de bien profiter de cette journée.
Cependant, il y a quelques défis tels que le trou dans «UN» ou le plus près du trou, le plus long coup pour les hommes et pour les femmes, l’équipe ayant obtenu le meilleur pointage et l’équipe la plus près du trou.
En fin d’après-midi, le propriétaire du Restaurant du village a servi un délicieux souper. Au menu : guedille au homard ou poulet frit avec salades variées et dessert. La journée s’est terminée par un tirage au sort de plusieurs prix, gracieusetés de commerçants de la région.
Un merci sincère au Comité organisateur qui a fait de cette journée un véritable succès.
31 août 2017
par Le Moniteur Acadien
Nous reconnaissons l’équipe gagnante, dans l’ordre habituel : 1ère rangée : Hilda Gagnon, du Comité organisateur; Éliette Léger et Adélard Savoie. 2e rangée : Léonard Léger et Michel Lacroix.
Pour la neuvième année, le Club d’âge d’or de Grande-Digue organisait son tournoi de golf à Bouctouche. Ainsi, le jeudi 24 août, par une journée splendide, quatorze équipes ont participé à cette activité.
Le tout s’est déroulé dans une atmosphère joviale et détendue. Ce tournoi se veut une journée de rencontre amicale sans compétition! Pour réaliser cet objectif, on choisi le format «meilleure balle». Ceci permet à tous les participants, peu importe l’habileté, de bien profiter de cette journée.
Cependant, il y a quelques défis tels que le trou dans «UN» ou le plus près du trou, le plus long coup pour les hommes et pour les femmes, l’équipe ayant obtenu le meilleur pointage et l’équipe la plus près du trou.
En fin d’après-midi, le propriétaire du Restaurant du village a servi un délicieux souper. Au menu : guedille au homard ou poulet frit avec salades variées et dessert. La journée s’est terminée par un tirage au sort de plusieurs prix, gracieusetés de commerçants de la région.
Un merci sincère au Comité organisateur qui a fait de cette journée un véritable succès.
Succès du Festival 150 de Grande-Digue
24 août 2017
par Le Moniteur Acadien
Sur cette photo, nous reconnaissons les exposantes Bernice Gallant, Lorraine Goguen et Elizabeth Bourque, (Photo : jbp)
Le Festival 150e de Grande-Digue a connu un grand succès, le 13 août dernier à Notre Centre.
Le tout a commencé avec la marche guidée par Gilles Thibault, pour l’entrée des 16 drapeaux représentant les 10 provinces, les trois territoires, le drapeau du Canada, celui de l’Acadie et Canada 150.
Plus de 25 exposantes et exposants étaient présents avec des produits variés et de grande qualité.
Plusieurs artistes et musiciens étaient au programme, dont Danny Vienneau, les danseurs des Premières nations Madison et Mason, de la danse à claquette avec Joanne Landry et les danseurs de quadrille de Grande-Digue. La Chorale de Grande-Digue a aussi interprété plusieurs chants Acadiens sous la direction de Pauline Léger.
On a aussi eu une dégustation de 13 soupes des 10 provinces et trois territoires, qui avaient été préparées à Notre Centre par Michel Poirier et son équipe. Les Chevaliers de Colomb avaient organisé un BBQ.
24 août 2017
par Le Moniteur Acadien
Sur cette photo, nous reconnaissons les exposantes Bernice Gallant, Lorraine Goguen et Elizabeth Bourque, (Photo : jbp)
Le Festival 150e de Grande-Digue a connu un grand succès, le 13 août dernier à Notre Centre.
Le tout a commencé avec la marche guidée par Gilles Thibault, pour l’entrée des 16 drapeaux représentant les 10 provinces, les trois territoires, le drapeau du Canada, celui de l’Acadie et Canada 150.
Plus de 25 exposantes et exposants étaient présents avec des produits variés et de grande qualité.
Plusieurs artistes et musiciens étaient au programme, dont Danny Vienneau, les danseurs des Premières nations Madison et Mason, de la danse à claquette avec Joanne Landry et les danseurs de quadrille de Grande-Digue. La Chorale de Grande-Digue a aussi interprété plusieurs chants Acadiens sous la direction de Pauline Léger.
On a aussi eu une dégustation de 13 soupes des 10 provinces et trois territoires, qui avaient été préparées à Notre Centre par Michel Poirier et son équipe. Les Chevaliers de Colomb avaient organisé un BBQ.
Le premier marathon Pépère Boîte à lunch est un vif succès
- Acadie Nouvelle
- 15 juin 2017
- Rhéal Hébert et sa bande de jeunes ont relevé un autre défi avec brio! Plus d’une vingtaine d’athlètes en herbe et plusieurs personnes de la communauté se sont relayés sur une distance de 50 km, mardi, dans le cadre du premier marathon Pépère Boîte à lunch. Avec ce périple de Cap-Pelé à GrandeDigue, les jeunes ont permis d’amasser plus de 40 bacs de nourriture à l’intention du Vestiaire Saint-Joseph de Shediac. Ronald Cormier, alias Pépère Boîte à lunch, a de son côté récolté plus de 10 000$, de l’argent qui servira à acheter de l’équipement sportif pour les écoles de la région. Shawn Léger (Tango Medical) a promis d’ajouter la somme de 1000$ à cette belle cagnotte tout de suite après l’événement. Une initiative qui pourrait faire boule de neige.
Communiqué sur le site web du Gouverneur Général du Canada
le 8 juin 2017
MÉDAILLE DU SOUVERAIN POUR LES BÉNÉVOLES
Jacques (Chuck) Lavoie et Norma Jeanne Lavoie
Moncton (Nouveau-Brunswick)
Depuis 2005, Chuck et Norma Jeanne Lavoie exercent une influence positive sur les familles dans la région de Moncton. Ils ont fait la promotion de la sensibilisation au cancer grâce à la Fondation LIVESTRONG et au Relais pour la vie de la Société canadienne du cancer, sans compter qu’ils aident les citoyens dans le besoin par l’entremise de la banque alimentaire du Vestiaire Saint-Joseph.
Since 2005, Chuck and Norma Jeanne Lavoie have had a positive influence on families in the Moncton area. They have promoted cancer awareness through the LIVESTRONG Foundation and the Canadian Cancer Society’s Relay for Life, and helped citizens in need through the Vestiaire St. Joseph Food Bank.
Communiqué sur le site web du Gouverneur Général du Canada
le 8 juin 2017
MÉDAILLE DU SOUVERAIN POUR LES BÉNÉVOLES
Jacques (Chuck) Lavoie et Norma Jeanne Lavoie
Moncton (Nouveau-Brunswick)
Depuis 2005, Chuck et Norma Jeanne Lavoie exercent une influence positive sur les familles dans la région de Moncton. Ils ont fait la promotion de la sensibilisation au cancer grâce à la Fondation LIVESTRONG et au Relais pour la vie de la Société canadienne du cancer, sans compter qu’ils aident les citoyens dans le besoin par l’entremise de la banque alimentaire du Vestiaire Saint-Joseph.
Since 2005, Chuck and Norma Jeanne Lavoie have had a positive influence on families in the Moncton area. They have promoted cancer awareness through the LIVESTRONG Foundation and the Canadian Cancer Society’s Relay for Life, and helped citizens in need through the Vestiaire St. Joseph Food Bank.
Petite soirée italienne à Grande-Digue
8 juin 2017 par Le Moniteur Acadien
Le Club d’âge d’or de Grande-Digue tenait, pour la huitième année consécutive, sa «Petite soirée italienne», le samedi 13 mai à Notre Centre. Dans une atmosphère de joie et de détente, nos fidèles bénévoles ont servi plus de deux cents invité.e.s qui ont dégusté une salade, un délicieux spaghetti avec pain à l’ail et un bon dessert.
La salle décorée dans les couleurs du drapeau italien ainsi que la musique fournie par le guitariste, Paul Dubé, ont fait de cette soirée un véritable succès.
Le comité organisateur désire remercier de tout cœur tous les bénévoles qui ont travaillé très fort. Merci également au Fonds John Lyons, à UNI Coopération Financière et à Bastarache Auto Salvage pour leurs généreux dons.
Les profits de cette soirée seront versés à l’Arbre de l’espoir et à d’autres besoins communautaires.
8 juin 2017 par Le Moniteur Acadien
Le Club d’âge d’or de Grande-Digue tenait, pour la huitième année consécutive, sa «Petite soirée italienne», le samedi 13 mai à Notre Centre. Dans une atmosphère de joie et de détente, nos fidèles bénévoles ont servi plus de deux cents invité.e.s qui ont dégusté une salade, un délicieux spaghetti avec pain à l’ail et un bon dessert.
La salle décorée dans les couleurs du drapeau italien ainsi que la musique fournie par le guitariste, Paul Dubé, ont fait de cette soirée un véritable succès.
Le comité organisateur désire remercier de tout cœur tous les bénévoles qui ont travaillé très fort. Merci également au Fonds John Lyons, à UNI Coopération Financière et à Bastarache Auto Salvage pour leurs généreux dons.
Les profits de cette soirée seront versés à l’Arbre de l’espoir et à d’autres besoins communautaires.
Marathon Pépère Boîte à lunch, Une course pour une bonne cause
1 juin 2017 par Le Moniteur Acadien
◄ Ronald Cormier, Pépère Boîte à lunch
En guise de remerciement pour tous les fonds amassés par Ronald Cormier (plus connu sous le nom de Pépère Boîte à lunch), les élèves de l’école Grande-Digue ont décidé d’organiser le Marathon Pépère Boîte à lunch en son honneur. Cette course, qui aura lieu le 13 juin, de Cap-Pelé à Grande-Digue, permettra non seulement d’encourager les jeunes à être actifs (des relais de 5 – 8km seront planifiés avec M. Cormier tout le long du trajet), mais aussi d’encourager la communauté à donner à leur tour pour venir en aide au Vestiaire St-Joseph de Shédiac.
L’objectif de Ron, avec l’aide des Chevaliers de Colomb de Grande-Digue, était d’amasser des fonds pour défrayer les repas des élèves de l’école Grande-Digue qui n’ont pas les moyens de le faire. Monsieur Cormier recueille ces fonds en faisant de la publicité lors de ses courses et marathons un peu partout dans la province et même ailleurs, y compris le Marathon de New York et le célèbre Marathon de Boston. Jusqu’à date, Pépère Boîte à lunch a déjà remis au-delà de 7500$ à l’école.
Partenariats créés avec des entreprises, des écoles et des organismes de la région
Des entreprises, des écoles et des organismes qui se trouvent aux abords du parcours ont été approchés dans le but de former des partenariats. Ceux-ci auront le mandat d’encourager leurs employés à récolter de la nourriture non périssable afin de regarnir la banque du Vestiaire Saint-Joseph. En gros, on leur a fourni des bacs, et ils auront le rôle de les remplir. Ces partenariats ne leur coûteront rien (autre que le coût du bac), c’est tout simplement un geste qu’ils feront pour appuyer cette course. Lors de la journée du 13 juin, les coureurs passeront aux entreprises tout au long de la course pour ramasser les bacs et une photo officielle sera prise (pour fin de publicité).
Section ouverte au public
Pour ceux et celles qui seraient intéressés d’y participer, il y aura une section ouverte au public pendant l’heure du dîner à Shédiac. L’inscription aura lieu au Parc provincial de la plage Parlee (en face du cinéparc Neptune) à partir de 11h30, puis à 12h, les gens partiront en groupe pour se rendre jusqu’au Gros homard. Le coût d’inscription est, vous l’avez deviné, un sac de nourriture non périssable.
Vous pouvez suivre le groupe sur leur page Facebook MARATHON PÉPÈRE BOÎTE À LUNCH pour d’autres détails de la course, y compris l’itinéraire de la journée, l’accueil prévu à l’école Grande-Digue ainsi que la liste de partenaires. Vous pouvez aussi communiquer avec Rhéal Hébert au (506) 531-7827 ou par courriel à [email protected] si vous désirez obtenir de plus amples renseignements au sujet de cette campagne.
1 juin 2017 par Le Moniteur Acadien
◄ Ronald Cormier, Pépère Boîte à lunch
En guise de remerciement pour tous les fonds amassés par Ronald Cormier (plus connu sous le nom de Pépère Boîte à lunch), les élèves de l’école Grande-Digue ont décidé d’organiser le Marathon Pépère Boîte à lunch en son honneur. Cette course, qui aura lieu le 13 juin, de Cap-Pelé à Grande-Digue, permettra non seulement d’encourager les jeunes à être actifs (des relais de 5 – 8km seront planifiés avec M. Cormier tout le long du trajet), mais aussi d’encourager la communauté à donner à leur tour pour venir en aide au Vestiaire St-Joseph de Shédiac.
L’objectif de Ron, avec l’aide des Chevaliers de Colomb de Grande-Digue, était d’amasser des fonds pour défrayer les repas des élèves de l’école Grande-Digue qui n’ont pas les moyens de le faire. Monsieur Cormier recueille ces fonds en faisant de la publicité lors de ses courses et marathons un peu partout dans la province et même ailleurs, y compris le Marathon de New York et le célèbre Marathon de Boston. Jusqu’à date, Pépère Boîte à lunch a déjà remis au-delà de 7500$ à l’école.
Partenariats créés avec des entreprises, des écoles et des organismes de la région
Des entreprises, des écoles et des organismes qui se trouvent aux abords du parcours ont été approchés dans le but de former des partenariats. Ceux-ci auront le mandat d’encourager leurs employés à récolter de la nourriture non périssable afin de regarnir la banque du Vestiaire Saint-Joseph. En gros, on leur a fourni des bacs, et ils auront le rôle de les remplir. Ces partenariats ne leur coûteront rien (autre que le coût du bac), c’est tout simplement un geste qu’ils feront pour appuyer cette course. Lors de la journée du 13 juin, les coureurs passeront aux entreprises tout au long de la course pour ramasser les bacs et une photo officielle sera prise (pour fin de publicité).
Section ouverte au public
Pour ceux et celles qui seraient intéressés d’y participer, il y aura une section ouverte au public pendant l’heure du dîner à Shédiac. L’inscription aura lieu au Parc provincial de la plage Parlee (en face du cinéparc Neptune) à partir de 11h30, puis à 12h, les gens partiront en groupe pour se rendre jusqu’au Gros homard. Le coût d’inscription est, vous l’avez deviné, un sac de nourriture non périssable.
Vous pouvez suivre le groupe sur leur page Facebook MARATHON PÉPÈRE BOÎTE À LUNCH pour d’autres détails de la course, y compris l’itinéraire de la journée, l’accueil prévu à l’école Grande-Digue ainsi que la liste de partenaires. Vous pouvez aussi communiquer avec Rhéal Hébert au (506) 531-7827 ou par courriel à [email protected] si vous désirez obtenir de plus amples renseignements au sujet de cette campagne.
Le Moniteur Acadien - 4 mai 2017
Journée santé réussie à Grande-Digue
Hilda Gagnon
Au début de l’année, le Club d’âge d’or de Grande-Digue s’est fixé un objectif: organiser des activités qui permettraient aux membres de maintenir une vie saine et active.
Pour y arriver, la première activité était une conférence sur «La bonne nutrition», suivie de douze semaines de «Chi-Gong » dirigé par Jean-Marc Cormier. Le vendredi 21 avril, nous avons eu notre Journée santé. Jean-Claude Cormier, directeur du programme Vie Saine et Active, a présenté Julie Boudreau, infirmière au CEPS de l’Université de Moncton (UdeM) dans le programme bien connu «Cœur en santé». Elle a expliqué, à l’aide d’un montage et d’un texte, les démarches à suivre pour profiter du programme offert par l’U de M, mais surtout les moyens à prendre pour se garder en forme et en santé.
Comme deuxième conférence, on a accueilli le Dr Clarence Jeffrey, professeur emeritus du Département de psychologie de l’Université de Moncton. Sa conférence avait comme thème «Comment gérer le stress», sans aucun doute un sujet de l’heure et très pertinent. À l’aide d’un montage, son bon sens de l’humour et son exceptionnel talent de pédagogue, Dr Jeffrey a bien défini ce qu’est le stress et surtout les moyens à prendre pour le gérer.
Pendant la pause-santé, les participant.e.s pouvaient visiter des kiosques, dont un sur la maladie d’Alzheimer et un autre de Solutions Innovatrices Inc. qui vend toute une gamme de machines pouvant aider les personnes vivant seules et ayant besoin d’aide et de sécurité à la maison. Une infirmière était présente et vérifiait le taux de cholestérol, la pression artérielle, le taux de sucre et le poids.
Si on juge le succès de ces activités par le nombre impressionnant de participants, l’objectif de notre Club d’âge d’or a certainement été atteint.
Au début de l’année, le Club d’âge d’or de Grande-Digue s’est fixé un objectif: organiser des activités qui permettraient aux membres de maintenir une vie saine et active.
Pour y arriver, la première activité était une conférence sur «La bonne nutrition», suivie de douze semaines de «Chi-Gong » dirigé par Jean-Marc Cormier. Le vendredi 21 avril, nous avons eu notre Journée santé. Jean-Claude Cormier, directeur du programme Vie Saine et Active, a présenté Julie Boudreau, infirmière au CEPS de l’Université de Moncton (UdeM) dans le programme bien connu «Cœur en santé». Elle a expliqué, à l’aide d’un montage et d’un texte, les démarches à suivre pour profiter du programme offert par l’U de M, mais surtout les moyens à prendre pour se garder en forme et en santé.
Comme deuxième conférence, on a accueilli le Dr Clarence Jeffrey, professeur emeritus du Département de psychologie de l’Université de Moncton. Sa conférence avait comme thème «Comment gérer le stress», sans aucun doute un sujet de l’heure et très pertinent. À l’aide d’un montage, son bon sens de l’humour et son exceptionnel talent de pédagogue, Dr Jeffrey a bien défini ce qu’est le stress et surtout les moyens à prendre pour le gérer.
Pendant la pause-santé, les participant.e.s pouvaient visiter des kiosques, dont un sur la maladie d’Alzheimer et un autre de Solutions Innovatrices Inc. qui vend toute une gamme de machines pouvant aider les personnes vivant seules et ayant besoin d’aide et de sécurité à la maison. Une infirmière était présente et vérifiait le taux de cholestérol, la pression artérielle, le taux de sucre et le poids.
Si on juge le succès de ces activités par le nombre impressionnant de participants, l’objectif de notre Club d’âge d’or a certainement été atteint.
Le membre du Club d'âge d'or de Grande-Digue, Ronald Cormier, aussi connu comme "Pépère Boîte à lunch" a fait les manchettes de l'Acadie Nouvelle récemment. Veuillez excuser la qualité du texte